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Cahier d’enregistrement des pratiques et registre phytosanitaire

Des documents obligatoires


Cogedis le 09/06/2022 à 09:03
A young agronomist holds a folder in his hands on a green wheat field. A farmer makes notes on the background of agricultural land during sunset. Man in a cap with a folder of documents

(©Getty Images)

Les exploitants ont l’obligation de remplir régulièrement leur cahier d’enregistrement des pratiques et registre phytosanitaire. La réglementation l’impose !

Quelles informations contient le registre phytosanitaire ?

Ce document enregistre l’ensemble des soins apporté aux cultures, tels que :

  • La culture (la variété),
  • L’îlot PAC ou la parcelle culturale,
  • Le nom commercial complet du produit utilisé,
  • La date du traitement,
  • La quantité ou la dose administrée,
  • La date ou les dates de récolte.

Il convient également d’y renseigner :

  • Les résultats des analyses de végétaux,
  • La présence de maladies ou bien d’organismes nuisibles,
  • L’utilisation d’OGM.

Quelles informations contient le cahier d’enregistrement des pratiques ?

En partant de la déclaration PAC ainsi que du découpage parcellaire du plan de fumure prévisionnel, il convient d’y :

  • Renseigner les apports de fertilisants organiques réellement épandus,
  • Consigner les différences entre le plan prévisionnel de fumure et ce qui est réalisé,
  • Reporter les engrais azotés épandus.

Pourquoi est-il important d’être à jour dans la tenue de ces documents ?

La bonne tenue du registre phytosanitaire et du cahier d’enregistrement des pratiques déclenchent l’obtention des aides de la PAC.

Au-delà de l’obligation réglementaire, la tenue rigoureuse de ces documents est un avantage pour le pilotage de l’exploitation, dans la mesure où elle fournit des informations techniques et économiques.

Besoin d’un accompagnement personnalisé ? N’hésitez pas à vous rapprocher des équipes d’experts de Cogedis.