Quand glamour rime avec agriculture

Marre de la crise et des photos d’énormes machines ? Envie d’échapper à la morosité de la crise ? C’est justement ce que propose l’édition 2017 du calendrier « Belles des Prés » qui vient de sortir ! En plus des photos habituelles de vieux tracteurs, place aux mises en scène variées. Objectif : montrer que même à la campagne, les femmes peuvent être féminines et glamour. Des images qui soutiennent la lutte contre le cancer du sein. Autre nouveauté, chaque exemplaire vendu aidera financièrement une famille d’agriculteurs à sortir du redressement judiciaire.

Qui a dit que glamour ne rimait pas avec ruralité ? L’édition 2017 du calendrier « Belles des Prés » vient de sortir et pourrait bien en faire changer d’avis plus d’un. Une version un brin sexy qui balaye les clichés de l’image des femmes en milieu agricole. Même à la ferme, elles sont féminines et glamour. C’est ce qu’illustrent ces modèles d’un jour, dont l’ambition commune est de changer la vision des femmes en milieu rural.

Une édition différente de l’an passé. Celle-ci s’articule autour de vieux tracteurs mais pas seulement. Des scènes de moisson, de récolte de lavande en Provence ou encore de vendange dans le bordelais, il y en a pour tous les goûts ! Les Belles des Prés ne sont pas des mannequins professionnels, juste des amatrices qui posent pour le plaisir et souvent pour la première fois. Pour celles que l’aventure tente, le casting 2018 est d’ailleurs ouvert.

Le calendrier est disponible sur le net, il suffit de le commander directement sur le site www.bellesdespres.com. Son prix ? 18,9 €. Un code caché au milieu des pages permet de faire gagner de nombreux lots, après un tirage au sort qui aura lieu en février prochain.

Johann Baxt, photographe et réalisateur de cet ouvrage, soutient l’opération « Le cancer du sein, parlons-en ». À chaque calendrier vendu, il reverse 1 € à l’association. Après avoir visionné un reportage télévisé sur un couple d’agriculteurs en galère, l’homme a également décidé de venir en aide à Sandrine et Rodolphe, en redressement judiciaire. Même démarche : chaque exemplaire vendu rapporte 1 € à l’opération Kisskissbankbank du couple. Les fonds récoltés serviront à financer le bâtiment de stockage du foin du Gaec des Églantiers.