Agriculture durable

Le groupe Soufflet développe l’économie circulaire et l’agriculture connectée


Grandes cultures le 14/08/2017 à 16:25

Filières de recyclage, drones, robots, etc. Soufflet présente aux agriculteurs ses solutions et outils pour les accompagner dans leur démarche de durabilité. Les agriculteurs découvrent des solutions variées qui vont du recyclage des déchets agricoles, jusqu’aux outils numériques pour une agriculture connectée et plus compétitive.

Dans une démarche de promotion d’une agriculture durable, le groupe Soufflet accompagne les agriculteurs en développant l’économie circulaire et l’agriculture connectée. L’entreprise présente chaque année de nombreuses solutions sur ses plateformes d’essais, comme celle de Villegruis (Seine-et-Marne).

Les actions du groupe ont notamment permis de collecter 742 tonnes de déchets. Alors que la collecte est l’étape la plus coûteuse, le groupe Soufflet a mis en place une chaîne d’efficience avec les agriculteurs. Pour les plastiques, il a assuré la collecte de plus de 119 tonnes issues de bâches. Cette matière recyclée a permis de produire plus de 700 000 sacs poubelles de 100 litres. Par ailleurs, les 230 tonnes de toiles plastifiées issues de big bags collectés ont été recyclées en plaques isolantes pour bâtiments.

L’agriculture connectée est un autre pilier que souhaite développer le groupe Soufflet. Pour obtenir une bonne performance économique et environnementale, ses clients ont à leur disposition une véritable boîte à outils. La problématique de la fertilisation azotée reste incontournable. Plus de 9 000 hectares sont ainsi cartographiés grâce aux drones pour appliquer avec précision la dose d’azote en fonction des zones. L’outil GPN-Pilot permet, lui, de calculer rapidement la dose azotée à apporter en fonction de la biomasse existante. Par ailleurs, avec N-Tester, les calculs de dose d’engrais sont plus précis. Enfin, plus de 2 000 hectares sont couverts par N-Sensor, un outil de mise en œuvre de la fertilisation qui module automatiquement en fonction des variabilités de potentiel agronomique.

Avec l’agriculture connectée, de nombreux projets émergent afin par exemple de limiter les traitements aux zones où les mauvaises herbes se développent. « Une idée simple et de bon sens peut aujourd’hui se concrétiser grâce au numérique. »